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Iconology of the Wayfarer Triptych

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4 interpretations found.

#277
Ragged poor man from The Pedlar

Tout, et même le site, y park d’une profonde desolation. C’est la premiere fois que celui qui étudie le maître pourrait soupconner que dans sa vie il y eut de la souffrance. Mais c’est la seule fois qu’il resta dans les bornes de la vie de douleur, de misères, et de désespoir de I’homme stir notre terre. On ne lui apprendra plus rien, void toute la charge que l’expérience pent accumuler sur les épaules du penseur rustique, au long de la route qui chemine entre le Diable ef Dieu. L’Éiglise, ses dogmes et ses Évangiles, les découvertes de la larve qui ronge le coeur de chaque fleur et qui erapoisonne chaque plaisir, la joie de peindre en tirant de I’inconnu des ombres où il gît, tout cela est en marge de la souffrance de notre pélerin et peut-être de Jerome lui-même. Void sur la route une modeste victime du bien et du mal qui, dans leurs batailles, déséquilibrent I’existence humaine; voici du démoniaque authentique. Dans ses croyances chancelantes, voilées par les sarcasmes et les doutes qui naissent alors dans sa foi, qu’il convenait de situer outre terre pour lui évite les souillures des sophistes et des négateurs, dans le désert qui s’étend dans son esprit, il a vu ce fils des hommes affreusement seul, et qui n’en pent plus appeler à aucune puissance. II marchera, sans compagnon, jusqu’à la mort. Le masque de I’Enfant prodigue, décharné, usé sous quelques mèches de cheveux blancs, porte I’empreinte de tous les déchirements. Bosch, cette fois, essaie de traduire le spirituel dans les apparences plastiques qu’il croit s’accorder avec la douleur irremissible. Dans la contemplation quotidienne, sur les routes cruelles aux portes closes, ce masque se grave dans nos sentiments de pitié. II est incomparable parmi les oeuvres émouvantes que nous a leguees le passé. On peut regretter que Jerome ait altéré, légèrement il est vfai, la position des sourcils et des paupières pour donner au visage I’expression d’une crainte passagère. Mais cette erreur n’empêche pas de lire sur ces traits dépouillés, toutes les craintes les terreurs, les maladies, les famines que cet errant a traversées pendant son pèlerinage douloureux,, ses errances dedestitué sur le globe terrestre. (pp. 4-5)

de Boschère, 1947
Jérôme Bosch

#796
Left leg with bandage from The Pedlar

The best-known character in a Bosch painting to suffer from such a sore is the sinister man who stands in the doorway of the shed in the Prado Epiphany, a figure who has been identified as the Anti-Christ or the Jewish Messiah [Bosch, ca. 1494 (Triptych of Adoration of the Magi); de Tolnay, 1966, 297; Philip, 1953, 267-293]. Lotte Brand Philip and Ludwig von Baldass have diagnosed his ailment as leprosy [Philip, 1953, 268; Baldass, 1943, 40]. It was appropriate for Bosch to have represented this character as a leper because, as Philip has shown, medieval legends described the Jewish Messiah as a leper [Philip, 1953, 268]. Furthermore, the Middle Ages commonly believed that leprosy occurred as divine punishment for sin, particularly the sin of heresy or unbelief [Brody, 1974, 115-117, 149-159]. The Anti-Christ would, of course, be the archetype of this type of sinner. Saul Brody has suggested that the connection between leprosy and heresy may be based on one of the curses in Deuteronomy to which Israel would be subject if she failed to keep God’s commandments: “May the Lord strike thee with a very sore ulcer in the knees and in the legs.” [Brody, 1974, 124-125:note 27; English Standard Version Bible, 2001, Deuteronomy, 28:35] But he then goes on to show that leprosy was associated with lust even more closely than with heresy [Brody, 1974, 117-118, 129-132, 143-146, 173-189]. The connection between carnality and leprosy was unanimously accepted in religious, medical, and popular theories: “for what is the impurity of leprosy, unless it is the sin of lust?” [Brody, 1974, 129]. Leprosy was believed to be a venereal disease that one was most likely to contract in brothels [Brody, 1974, 52-58, 143, 177-179]. This belief was so ubiquitous that Bosch’s apparent association of leprous sores with taverns and brothels seems quite unexceptional. The appearance of a sore on the leg of the man in the Rotterdam tondo reinforces our suspicion that he has been frequenting the house that is shown behind him. (p. 93-94)

Tuttle, 1981
Bosch’s Image of Poverty