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Iconology of the Wayfarer Triptych

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38 interpretations found.

#277
Ragged poor man from The Pedlar

Tout, et même le site, y park d’une profonde desolation. C’est la premiere fois que celui qui étudie le maître pourrait soupconner que dans sa vie il y eut de la souffrance. Mais c’est la seule fois qu’il resta dans les bornes de la vie de douleur, de misères, et de désespoir de I’homme stir notre terre. On ne lui apprendra plus rien, void toute la charge que l’expérience pent accumuler sur les épaules du penseur rustique, au long de la route qui chemine entre le Diable ef Dieu. L’Éiglise, ses dogmes et ses Évangiles, les découvertes de la larve qui ronge le coeur de chaque fleur et qui erapoisonne chaque plaisir, la joie de peindre en tirant de I’inconnu des ombres où il gît, tout cela est en marge de la souffrance de notre pélerin et peut-être de Jerome lui-même. Void sur la route une modeste victime du bien et du mal qui, dans leurs batailles, déséquilibrent I’existence humaine; voici du démoniaque authentique. Dans ses croyances chancelantes, voilées par les sarcasmes et les doutes qui naissent alors dans sa foi, qu’il convenait de situer outre terre pour lui évite les souillures des sophistes et des négateurs, dans le désert qui s’étend dans son esprit, il a vu ce fils des hommes affreusement seul, et qui n’en pent plus appeler à aucune puissance. II marchera, sans compagnon, jusqu’à la mort. Le masque de I’Enfant prodigue, décharné, usé sous quelques mèches de cheveux blancs, porte I’empreinte de tous les déchirements. Bosch, cette fois, essaie de traduire le spirituel dans les apparences plastiques qu’il croit s’accorder avec la douleur irremissible. Dans la contemplation quotidienne, sur les routes cruelles aux portes closes, ce masque se grave dans nos sentiments de pitié. II est incomparable parmi les oeuvres émouvantes que nous a leguees le passé. On peut regretter que Jerome ait altéré, légèrement il est vfai, la position des sourcils et des paupières pour donner au visage I’expression d’une crainte passagère. Mais cette erreur n’empêche pas de lire sur ces traits dépouillés, toutes les craintes les terreurs, les maladies, les famines que cet errant a traversées pendant son pèlerinage douloureux,, ses errances dedestitué sur le globe terrestre. (pp. 4-5)

de Boschère, 1947
Jérôme Bosch

#784
Ragged poor man from The Pedlar

As the preeminent Franciscan virtue, poverty was frequently illustrated virtue cycles, including those in the Bardi Chapel and the Baroncelli Chapel of S. Croce [Workshop of Taddeo Gaddi, 14th century], in the choir vault of S. Francesco in Pistonia, and in the Strozzi Chapel of S. Maria Novella [Workshop of Orcagna, 15th-16th century; Offner & Steinweg, 1979, IV, n. 10; Allegory of Chasity at the Bardi Chapel, ca. 1325]. In these cycles, cycles Poverty has begun to bear a number attributes that will later appear with the figure Haywain and the Rotterdam tondo. Rotterdam tondo. In each case the is dressed in ragged clothing, carries a walking stick, flees from an attacking dog while turning back to it [Tuttle, 1981, 91:note 26; Dante, ca. 1308-1321, XXI, v. 68-69]. These pictorial details also derive from descriptions poverty in the Franciscan texts. Franciscan texts. The bride of Saint Francis is called a homeless wanderer, “a fugitive upon earth,” [Habig, 1973, 1568-69] whom avarice has caused all men to despise [Habig, 1973, 1569, 1571]. She is explicitly associated with the suffering of Christ his Passion: “You were with him when the Jews him, when the pharisees insulted him, when the priest cursed him; you were with him when he was feted, spat upon, and scourged … you suffered him.” [Habig, 1973, 1563] The association of Poverty’s suffering with Christ’s Passion seems to be expressed in the Franciscan virtue cycles and in Bosch’s paintings by means of the dog that harries the poor man. (p. 91-92)

Tuttle, 1981
Bosch’s Image of Poverty