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Iconology of the Wayfarer Triptych – Detail

Location of Visual Attribute
Exterior of the Wayfarer Triptych
#277
Ragged poor man from The Pedlar

Tout, et même le site, y park d’une profonde desolation. C’est la premiere fois que celui qui étudie le maître pourrait soupconner que dans sa vie il y eut de la souffrance. Mais c’est la seule fois qu’il resta dans les bornes de la vie de douleur, de misères, et de désespoir de I’homme stir notre terre. On ne lui apprendra plus rien, void toute la charge que l’expérience pent accumuler sur les épaules du penseur rustique, au long de la route qui chemine entre le Diable ef Dieu. L’Éiglise, ses dogmes et ses Évangiles, les découvertes de la larve qui ronge le coeur de chaque fleur et qui erapoisonne chaque plaisir, la joie de peindre en tirant de I’inconnu des ombres où il gît, tout cela est en marge de la souffrance de notre pélerin et peut-être de Jerome lui-même. Void sur la route une modeste victime du bien et du mal qui, dans leurs batailles, déséquilibrent I’existence humaine; voici du démoniaque authentique. Dans ses croyances chancelantes, voilées par les sarcasmes et les doutes qui naissent alors dans sa foi, qu’il convenait de situer outre terre pour lui évite les souillures des sophistes et des négateurs, dans le désert qui s’étend dans son esprit, il a vu ce fils des hommes affreusement seul, et qui n’en pent plus appeler à aucune puissance. II marchera, sans compagnon, jusqu’à la mort. Le masque de I’Enfant prodigue, décharné, usé sous quelques mèches de cheveux blancs, porte I’empreinte de tous les déchirements. Bosch, cette fois, essaie de traduire le spirituel dans les apparences plastiques qu’il croit s’accorder avec la douleur irremissible. Dans la contemplation quotidienne, sur les routes cruelles aux portes closes, ce masque se grave dans nos sentiments de pitié. II est incomparable parmi les oeuvres émouvantes que nous a leguees le passé. On peut regretter que Jerome ait altéré, légèrement il est vfai, la position des sourcils et des paupières pour donner au visage I’expression d’une crainte passagère. Mais cette erreur n’empêche pas de lire sur ces traits dépouillés, toutes les craintes les terreurs, les maladies, les famines que cet errant a traversées pendant son pèlerinage douloureux,, ses errances dedestitué sur le globe terrestre. (pp. 4-5)

de Boschère, 1947
Jérôme Bosch

Keywords
Category
Social conduct and emotions,Bible and biblical stories,Christianity and the Church,Society and social classes,Morality and immorality
Interpretation Type
InfoSensorium Facet
(Sum, 2022)
Layer of meaning
(van Straten, 1994)
Conception of Information
(Furner, 2004)
Level of knowledge
(Nanetti, 2018)
View of reality
(Popper, 1972, 1979; Gnoli, 2018)
Iconographical interpretation Relevance (Iconographical) Interpretations,Narratives Second world (Mind)
Reference Source(s)
Symbolic Content

#277
Ragged poor man from The Pedlar

Tout, et même le site, y park d’une profonde desolation. C’est la premiere fois que celui qui étudie le maître pourrait soupconner que dans sa vie il y eut de la souffrance. Mais c’est la seule fois qu’il resta dans les bornes de la vie de douleur, de misères, et de désespoir de I’homme stir notre terre. On ne lui apprendra plus rien, void toute la charge que l’expérience pent accumuler sur les épaules du penseur rustique, au long de la route qui chemine entre le Diable ef Dieu. L’Éiglise, ses dogmes et ses Évangiles, les découvertes de la larve qui ronge le coeur de chaque fleur et qui erapoisonne chaque plaisir, la joie de peindre en tirant de I’inconnu des ombres où il gît, tout cela est en marge de la souffrance de notre pélerin et peut-être de Jerome lui-même. Void sur la route une modeste victime du bien et du mal qui, dans leurs batailles, déséquilibrent I’existence humaine; voici du démoniaque authentique. Dans ses croyances chancelantes, voilées par les sarcasmes et les doutes qui naissent alors dans sa foi, qu’il convenait de situer outre terre pour lui évite les souillures des sophistes et des négateurs, dans le désert qui s’étend dans son esprit, il a vu ce fils des hommes affreusement seul, et qui n’en pent plus appeler à aucune puissance. II marchera, sans compagnon, jusqu’à la mort. Le masque de I’Enfant prodigue, décharné, usé sous quelques mèches de cheveux blancs, porte I’empreinte de tous les déchirements. Bosch, cette fois, essaie de traduire le spirituel dans les apparences plastiques qu’il croit s’accorder avec la douleur irremissible. Dans la contemplation quotidienne, sur les routes cruelles aux portes closes, ce masque se grave dans nos sentiments de pitié. II est incomparable parmi les oeuvres émouvantes que nous a leguees le passé. On peut regretter que Jerome ait altéré, légèrement il est vfai, la position des sourcils et des paupières pour donner au visage I’expression d’une crainte passagère. Mais cette erreur n’empêche pas de lire sur ces traits dépouillés, toutes les craintes les terreurs, les maladies, les famines que cet errant a traversées pendant son pèlerinage douloureux,, ses errances dedestitué sur le globe terrestre. (pp. 4-5)

de Boschère, 1947
Jérôme Bosch

#282
Ragged poor man from The Pedlar

L’état râpé des guenilles de VEnfant prodigue semble permettre de conclure que sa route a ete longue et qu’il est totalement denue d’espoir. Un genou se montre dans une vieille déchirure de ses chausses, une jambe nue, le pied dans une savate, porte un pansement blanc au mollet, sa coiffure même, par une crevasse, laisse paraitre une mèche de tristes cheveux. Une grande corbeille ou panier au couvercle de bois ne semble pas fort lourd , si l’on en juge d’après absence de tension de la lanière qui le retient stir le dos du nomade sans provoquer tin seul pli dans sa vieille tunique. Mais Bosch semble insouciant de ses détails et conséquences de la balistique et des résistances. Sur le panier sont attachés une cuiller de hois et une peau de chat, I’une symbole de malchance, dit Tolnay [de Tolnay, 1937], I’autre de débauche. Un chien de garde, comme le dit son collier armé de pointes, paraît avoir poursuivi le chemineau et ne s’être arrêté que devant le gros bâton que celui-ci porte dans sa main droite, beaucoup trop petite comme le sont presque toutes les mains dessinées par Jérôme. Un grand couteau de chasse et tine bourse ( ?) pendent à la ceinture du personnage. Sur sa poitrine, le cordon d’une aiguillette defaite, trace une perpendiculaire claire sur le costume grisâtre ; plus has, passé dans I’ouverture de I’habit, un pied de mouton, aussi cher aux cocagnes flamands que le pied de pore, est un symbole aussi obscur, pour nous, que l’est le fil perpendiculaire qui le surplombe. (pp. 5-6)

de Boschère, 1947
Jérôme Bosch

#329
Ragged poor man from The Pedlar

Following another tradition, the poor, wandering itinerant, who likewise a social outcast, is also – as presented on the outside of The Haywain [Bosch, ca. 1512-1515] or on the Rotterdam Pedlar – a metaphor for the good, repentant sinner… Bosch was absorbed with the notion of standing ‘out-side society’. He regarded it as an extraordinary position, either for better or for worse. To Bosch, life in the fringes was folly, negative in the case of riffraff but positive in the case of the ‘fools in God’, the hermits he depicted as holy ascetics in the Byzantine tradition – and perhaps there was folly also in the ‘madness’ of the artist, madness sublimated in his fanciful creations. There is an intriguing paradox in Bosch’s view of mankind and society. He condemns outsiders on the one hand but also praises and promotes a ‘sublimated’ marginality under the character of the most austere, ‘extremist’ anchorites from early Christianity, who are seen as self-maintaining (not dependent upon others, unlike beggars), wise, virtuous, ascetic and courageous against the devil’s violence and sexual assaults. The constant presence of threats in Bosch’s worldview goes some way to explaining the contradiction: the moral and spiritual integrity of the individual was liable to attack by his own impulses, rooted in sensuality, by the external world and by supernatural forces of evil. Fear both of material ruin and of spiritual damage was a basic element of bourgeois culture around 1500. The ideal of utilitarian wisdom became an obsession with self-preservation. The self was regarded as an extremely weak entity, constantly obliged to resist and remain firm. Hence the admiration for stern anchorites who were strong, courageous and self-contained. (p. 98-99)

Vandenbroeck, 2017
The Axiology and Ideology of Jheronimus Bosch

#378
Ragged poor man from The Pedlar

In Bosch’s image, the man has packed all his worldly goods into a high wicker basket that he carries on his back, lugging his earthly burden along the path of his life. It has been frequently suggested in the literature that it is a goods basket – a pedlar’s pack- and that the man would therefore have to be a pedlar (as indeed he is called throughout this book). However, we ought to be careful about identifying him too literally; the point is that, like every Christian, he must follow the difficult path of his life, weighed down by the burden of his earthly existence. He lives his life in imitation of Christ, considering Jesus’ example day by day, hour by hour, and bearing his burden. This reading of Bosch’s two, heavily laden vagabonds is reinforced by the title page of an edition of the famous book by Thomas à Kempis, the Dutch edition of his lmitatio Christi, published in Antwerp in 1505 [Kempis, 1505]. The page is decorated with a woodcut showing Christ giving his blessing as Salvator Mundi, which is accompanied by the words ‘No follower of mine shall walk in darkness, says the Lord’ (John 8:12) in both Latin and Middle Dutch. These opening words of the lmitatio Christi epitomize the whole Devotio Moderna movement and are the key to the interpretation of Bosch’s two pedlars. The Christ giving his blessing on the title page looks down at an angle towards the figure of a heavily laden man, who appears in the frame of the woodcut, surrounded by monsters and vines. The resemblance to Bosch’s pedlars is striking, although his basket is filled with the grapes he has picked, the eucharistic symbolism of which is fairly plain. (pp. 63-64)

Koldeweij, Vandenbroeck & Vermet, 2001
Hieronymus Bosch. The Complete Paintings and Drawings

#436
Ragged poor man from The Pedlar

Stelt het schilderij nu werkelijk den Verloren Zoon voor? Men heeft het betwijfeld en zelfs radicaal ontkend [Sudeck, 1931, 18; Vermeylen, 1939, 49]. Het grijze haar vooral zou niet passen en de andere détails, ook de zwijnen, kunnen wel als simpele milieuschildering opgevat worden… Maar de verbeelding is meer dan een simpele weergave van den parabel; zij legt den nadruk op het algemeen-menschelijke van het thema… Dat de schilder het menschelijke door het persoonlijke weergegeven heeft, staat voor mij vast. Wie, de middaghoogte des levens overschreden „en tot zichzelven gekomen zijnde” [Luke, 15:17], ontkomt aan stemmingen als van den Verloren Zoon? Al proef ik het subjectieve in het schilderij, toch zou ik niet zoo ver willen gaan als sommigen, die er een zelfportret van Bosch in zien [de Tolnay, 1937, 46ff.; Hannema, 1931, 10; Romein & Romein, 1938, 81; Lafond, 1914, 24]. Men heeft zelfs in den ronden vorm van het schilderij een spiegel meenen te herkennen, „miroir de la r alit ”, die den mensch het ware en goede moet openbaren [English Standard Version Bible, 2001, Luke, 15:17; de Tolnay, 1937, 46ff]. Dat zou wel passen bij mijn opvatting van de voorstelling, want, naar Huizinga’s woord, „er was geen groote waarheid, die de middeleeuwsche geest stelliger wist, dan die van het woord aan de Corinthen: „Videmus nunc per speculum in aenigmate, tune autem facie ad faciem” [Huizinga, 1919, 337; English Standard Version Bible, 2001, Corinthians. 13:12]. Wie het algemeenmenschelijke, tegelijk het diepst-eigene, wilde verbeelden, kan zeker naar den spiegelvorm gegrepen hebben. Doch ook de achterzijde van Bosch’ Johannes op Patmos te Berlijn [Bosch, ca. 1500 (Johannes auf Patmos)] en zijn Doornenkroning in het Escuriaal [Bosch, ca. 1510] zijn rond! Het lijkt mij gevaarlijk, schoon verleidelijk, in den ronden vorm een spiegel te willen zien en daaraan geestelijke bedoelingen te verbinden. Liever wil ik de verklaring van Glück aanvaarden, die het ronde proc d waarschijnlijk ontleend acht aan ontwerpen voor glasschilderingen [Glück, 1933, 11; Romein & Romein, 1938, 93]; dus zou het hoogst nuchter een kwestie van techniek zijn, overgehouden uit het vroeger beoefende glazeniersvak. Doch dat vermindert volstrekt niet de subjectieve visie van den kunstenaar op den Verloren Zoon. (pp. 84-85)

Enklaar, 1940
Uit Uilenspiegel’s kring

#440
Ragged poor man from The Pedlar

De verloren zoon, even voornaam eenvoudig van voorstelling als inde sobere schildering, is geen uiting der visionnaire verbeelding van een gehallucineerde, gelijk men Bosch wel heeft genoemd. Hier geen spoor van bitteren lust in het onwezenlijke of infernaal-afschrikwekkende, noch van spot met den medemensch, die klein en vreesachtig zich tracht te verbergen voor het arglistige, giftige kwaad, dat hem van alle zijden belaagt… Men kon er een breedvoerige bespiegeling over houden, of Jheronymus Bosch hier geen ander oogmerk heeft gehad dan een bijbelsch tafereel: den verloren zoon, verjaagd van voor een vervallen taveerne, herinnering aan vroeger gevierde orgi n, in beeld te brengen. De eigenaardige vermenging van mystieke gewaarwording met objectieve aanschouwing, die aan het ontstaan van de vele „diableries moet zijn voorafgegaan, heeft hier ontbroken. Mist men echter ook die van verzinnebeelding met realistische opvatting? Is niet aannemelijk, dat de schilder niet alleen een episode uit de bekende gelijkenis heeft willen we rgeven, doch breeder van conceptie, de bedoeling heeft gehad de verlatenheid of verworpenheid uitte beelden? Om een antwoord op de vraag te vinden, kon men zich er rekenschap van geven dat die arme daar op een schoen en een slof gaat, met den hoed inde hand, wat het gissen naar hetgeen men den zin van de schildering zou kunnen noemen, een ruimer gebied opent dan inde gelijkenis ligt omsloten. Daar tegenover herinneren accessoires als een trog met zwijnen en een kalf toch wel onmiddellijk aan die parabel (pp. 48-49)

Koomen, 1932
Een Bosch in Boymans